LANSES affirme qu’il n’existe aucune preuve que les animaux domestiques peuvent transmettre le virus à l’homme. L’OIE (Organisation mondiale de la santé animal) relate les propos suivants : La propagation actuelle du COVID-19 est le résultat d'une transmission d'homme à homme. À ce jour, rien ne prouve que les animaux de
Depuisl’annonce, le 28 février, que le chien d’une patiente atteinte du Covid-19 à Hongkong s’est révélé porteur de « faibles traces »
Lesanimaux peuvent-ils attraper le Covid-19 et le transmettre? Partager : Ilham Mountaj. Le 5 mai 2020 à 11h45. Modifié 11 avril 2021 à 2h46. Le nouveau coronavirus se transmet principalement d’humain à humain. Cependant, le rôle de l’animal dans la genèse de cette pandémie et sa place dans la chaîne de transmission demeurent
Ellea suggéré "qu’il est possible que le virus se propage dans les excréments des chiens". Les chiens peuvent-ils attraper la Covid
Répondupar Del2244 il y a 1 an. Bonjour. De ce que j'ai pu lire c'est effectivement possible, mais très très rare. Mieux vaudrait consulter un vétérinaire pour que, Covid ou autre, il soit soigné rapidement et ne risque pas de complication. Signaler un abus. Pour répondre à cette question, vous devez vous connecter ou vous inscrire à
Létude, qui profite d’un financement de près de 1M$ de la Fondation Royal Canin, n’en est encore qu’à ses premiers pas. Les chiens peuvent-ils réellement détecter le cancer ou la
Rienne te prouve que malgré que ta chance soit d'une sur plus de 230 000 de l'attraper que tu ne seras pas le 14ème et ta compagne la
Àpropos de cet article [SUPPORT EXTENSIBLE] : Il y a deux cadres de support rétractables dans notre porte-casseroles. En étirant les cadres de support, la longueur de cet organisateur de cuisine peut être ajustée entre 31 cm et 56 cm selon vos besoins, ce qui le rend très utilisable même dans l'espace de cuisine le plus étroit, peut être placé
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Vay Tiền Trả Góp Theo Tháng Chỉ Cần Cmnd Hỗ Trợ Nợ Xấu. Les personnes atteintes par le Covid-19 peuvent transmettre la maladie à leurs chats et leurs chiens, montre une étude publiée vendredi. Le nouveau coronavirus est une zoonose, une maladie infectieuse passée de l'animal à l'homme. S'il semble que les animaux domestiques ne jouent pas un rôle majeur dans sa propagation, de plus en plus de données montrent que les chats, les chiens, et même les tigres peuvent l'attraper. Des signes de maladie respiratoire Dans une nouvelle étude, qui sera présentée en congrès mais n'a pas été publiée dans une revue à comité de relecture, des chercheurs canadiens en sciences vétérinaires ont testé les animaux domestiques de personnes infectées par le coronavirus ou présentant des symptômes cohérents avec le Covid-19. Dans un premier groupe, dont le diagnostic remontait à moins de deux semaines, ils ont recherché la présence du virus test PCR chez 17 chats, 18 chiens et un furet. Tous les tests sont ressortis négatifs sauf un, dont le résultat était douteux. ►►► À lire aussi Quand le confinement humain booste la libido animale petit carnet rose mondial des "bébés coronavirus" En revanche, dans un deuxième groupe de huit chats et dix chiens, où le diagnostic des propriétaires était plus ancien, des tests sérologiques ont mis en évidence la présence d'anticorps IgG signe d'une infection ancienne chez quatre chats et deux chiens, et d'anticorps IgM marque d'une infection plus récente chez trois chats. Tous les chats porteurs d'anticorps ainsi que l'un des deux chiens avaient montré des signes de maladie, notamment respiratoire, à la même période que leurs propriétaires. Des animaux développent des anti-corps "Même si le nombre de participants était limité ..., ces résultats préliminaires suggèrent qu'une proportion importante d'animaux domestiques vivant avec des personnes atteintes par le Covid-19 développe des anticorps", explique Dorothee Bienzle, professeure à l'Université de Guelph Ontario L'échantillon est toutefois trop réduit pour tirer des conclusions et les propriétaires d'animaux domestiques ne doivent pas s'inquiéter, estiment des experts n'ayant pas participé à l'étude. Elle sera présentée la semaine prochaine à la conférence sur le Covid-19 organisée par la Société européenne de microbiologie clinique et de maladies infectieuses ESCMID. Pas d'isolement pour autant Il n'y a pas assez de données pour recommander aux malades du Covid-19 de s'isoler de leurs animaux, juge Sally Cutler, professeure de microbiologie médicale à l'Université d'East London, qui rappelle que "les animaux peuvent être une source de réconfort pour les humains, en particulier lorsqu'ils sont malades". Si plusieurs chats et chiens, et même un tigre d'un zoo de New York, ont bien été testés positifs au coronavirus ces derniers mois, on ignore si ces animaux infectés peuvent représenter un risque pour les humains, relève l'Organisation mondiale de la santé OMS. Des foyers épidémiques au sein d'élevages de visons ont toutefois soulevé des inquiétudes concernant une possible transmission de ces animaux vers l'être humain.
Selon le Dr. Blanchecotte, président du Syndicat des Biologistes, on pourrait ré-attraper le Covid-19 au bout d'environ 1 de Covid-19 a débuté fin décembre 2019 depuis plus de 2 ans, les scientifiques du monde entier étudient le coronavirus SARS-CoV-2 afin de mieux comprendre comment il se transmet, les symptômes qu'il provoque et la meilleure façon de le sait aujourd'hui qu'il est possible d'être ré-infecté par le coronavirus SARS-CoV-2 après avoir attrapé une première fois le Covid-19, notamment à cause de l'émergence de nouveaux variants – actuellement, on parle beaucoup du variant Omicron et de son sous-lignage, pourrait ré-attraper le Covid-19 au bout d'un mois ou un mois et demiMais quel est le délai minimum entre deux contaminations par le coronavirus SARS-CoV-2 ? Selon le Dr. François Blanchecotte, président du Syndicat des Biologistes SDB, interrogé par nos confrères de France Info ce lundi 28 mars 2022, les recontaminations pourraient intervenir au bout "d'un mois ou un mois et demi"."On est quasiment à un test sur trois de positif, avec 3 millions de PCR faits sur la dernière semaine, explique le spécialiste. … Ce sont des recontaminations, des gens qui ont fait des vagues Omicron et qui aujourd'hui se contaminent avec le Les recontaminations concerneraient en particulier des patients âgés de 10 à 49 Dr. François Blanchecotte ajoute qu'actuellement, les lieux les plus favorables à une recontamination par le coronavirus SARS-CoV-2 sont les Ehpad qui regroupent 57 % des clusters, les établissements médicaux accueillant des personnes handicapées 14 %, les entreprises 8 % et les crèches 10 %. Malgré la décision des autorités d'assouplir des mesures sanitaires, mieux vaut donc rester prudent pour éviter de ré- attraper le Covid-19 !À lire aussi Deltacron une dizaine de cas probables détectés en FranceCovid-19 les enfants de moins de 3 ans propagent plus le virus que les adosRhume ou Covid-19, comment faire la différence ? Inscrivez-vous à la Newsletter de Top Santé pour recevoir gratuitement les dernières actualités
…face à l’actuelle pandémie et aux nombreux abandons de chiens et de chats en Chine, on est en droit de se poser la question. Il n’y a pas un coronavirus mais des coronavirus ! Nos animaux de compagnie comme les chiens et les chats peuvent certes héberger des coronavirus mais il s’agit de virus différents de celui qui fait la une de l’actualité en ce moment. Les coronavirus qui affectent les chiens et les chats sont responsables de maladies digestives associées à des diarrhées. On les connaît depuis de très nombreuses années et aucune preuve scientifique n’a jamais fait état d’une transmission de l’animal à l’humain pour les virus qui affectent les chiens et les chats. A l’inverse, rien ne prouve à l’heure actuelle que les chiens ou les chats puissent être contaminés par le coronavirus SARS-Cov 2, le virus actuellement responsable de l’épidémie de COVID-19. En réalité, le terme de coronavirus est un terme générique qui englobe une très grande variété de virus qui ont la même apparence lorsqu’on les observe au microscope électronique. Ainsi, il existe d’une part des coronavirus qui affectent les chiens et les chats et d’autre part des coronavirus qui affectent les humains, sans qu’il n’existe de preuves du passage du virus de nos animaux de compagnie à l’Homme ni de l’Homme à l’animal de compagnie. Un seul chien testé positif à Hong Kong A l’heure actuelle, seul un chien appartenant à une sexagénaire hongkongaise malade du COVID-19 a été testé faiblement positif le 28 février dernier, ce qui a entraîné une mise en en quarantaine préventive de tous les animaux domestiques des personnes touchées dans l’île pendant 14 jours. Malheureusement, de nombreux foyers chinois ont dors et déjà cédé à la psychose en abandonnant des milliers de chiens et chats à leur sort au sein de plusieurs grandes villes chinoises tels que Wuhan, Pékin, Dalian ou Xi’an. Si l’on a retrouvé le virus dans les cavités nasales d’un chien, l’animal se porte cependant très bien et ne présente aucun signe de la maladie. Selon les spécialistes interrogés par 30 Millions d’Amis et selon l’Organisation Mondiale de la Santé, il s’agirait donc d’une simple contamination environnementale et non pas la preuve d’une transmission entre un humain et un animal domestique. A la question les chiens et les chats peuvent-ils attraper ou transmettre le coronavirus responsable du COVID-19, la réponse est donc non…L'actuelle épidémie ne justifie donc en rien d'abandonner - ou pire, d'euthanasier - son animal !
Colline Brassard, docteur vétérinaire et doctorante en anatomie fonctionnelle et en archéozoologie au Muséum national d’histoire naturelle MNHN, explique les conséquences d'une contamination de votre animal de compagnie, qu'il soit un chat, un chien ou un furet, si ce dernier est touché par le nombreux propriétaires de chats et chiens s’inquiètent que leur boule de poils préférée puisse ramener plus que la poussière dans laquelle elle vient de se rouler. L’inquiétude qu’elle puisse aussi véhiculer le virus dont on essaie de se tenir éloignés, a poussé certains à adopter des mesures extrêmes et dangereuses. Par exemple, certains désinfectent leur compagnon après la promenade à l’alcool ou à l’eau de javel, des produits hautement toxiques et à aussi - TRIBUNE. "Biodiversité il faudra tirer les conséquences de cette crise"Rappelons d’abord que les "coronavirus" représentent en fait un grand nombre de virus à couronne différents, parfois très fréquents, et que l’on retrouve chez beaucoup d’espèces animales. Le chat possède ses propres coronavirus, certains étant très virulents voire mortels, comme le coronavirus entérique félin FECV ou le virus de la péritonite infectieuse féline, PIF pour les intimes FIPV. Ces virus félins ne sont contagieux que pour les chats. De la même façon, certains autres coronavirus sont spécifiques à d’autres certains coronavirus, en particulier ceux de la chauve-souris, peuvent aussi infecter l’homme c’est le cas des coronavirus responsables du SARS et du MERS, ou encore de SARS-CoV-2, lui-même responsable de la maladie Covid-19.Les animaux peuvent-ils contracter le SARS-CoV-2?Actuellement, on sait très peu de choses sur le comportement du virus SARS-CoV-2 chez d’autres espèces animales. Or, savoir si les animaux de compagnie qui partagent notre quotidien peuvent être des vecteurs de contamination est un enjeu crucial de santé publique. Les chats et les chiens étant en contact étroit avec nous, il est important de comprendre leur sensibilité au faut différencier deux situations celle où ils ne seraient que des hôtes "accidentels" de celle où ils permettraient au virus de se multiplier et de se propager plus facilement dans une population. Dans le premier cas, comme des objets inertes, chiens et chats peuvent accrocher des particules du virus par contact avec des objets ou personnes contaminées, mais sans qu’il ne se réplique et ne puisse être excrété par l’animal. Cette contamination "passive" est liée à la possibilité de survie du virus sur un substrat, d’une durée très variable en fonction de paramètres comme la température ou l’humidité. Il n’y a pas encore de donnée quant à la survie sur les poils d’animaux. Celle-ci pourrait aller de quelques minutes à quelques heures, si l’on en croit le docteur vétérinaire Ludovic l’autre cas, si les animaux peuvent être infectés même si porteurs sains et s’ils sont capables de répliquer le virus, ils seraient alors des réservoirs du virus, susceptibles de les excréter et de les transmettre à d’autres individus de la même espèce, voire à l’homme. On notera ici que la présence d’un récepteur transmembranaire au virus ACE2 est attestée chez de nombreuses espèces animales, dont le chien et le chat, mais ce n’est pas une condition suffisante pour permettre l’infection de ces animaux, car d’autres éléments de la cellule sont aussi nécessaires à la réplication du cas de contamination d'animaux de compagnie sporadiquesQuelques rares cas de contamination d'animaux de compagnie par le SARS-CoV-2 ont été rapportés. Ces cas restent cependant extrêmement sporadiques et isolés, et des éléments contextuels sont à prendre en compte, comme l'a souligné l'American Veterinary Medical Hongkong, deux chiens en contact avec des personnes infectées auraient été testés positifs au virus. Cependant, les canidés n’ont pas présenté de signe clinique de la maladie. Pour le premier chien, un chien poméranien de 17 ans, seule une faible quantité de matériel génétique a d’abord été détectée, dans la bouche et le nez. Des anticorps dirigés contre le virus ont finalement été identifiés, mais le virus vivant n’a pas pu être isolé. Le chien est depuis décédé, probablement d’autres troubles liés à son âge très avancé aucune autopsie n’a été faite.Le deuxième chien, un berger allemand de 2 ans a été testé négatif quelques jours après le premier test, et l’autre chien du foyer n’a pas été contaminé. Le 27 mars, c’est le cas d’un chat qui a été reporté par les autorités belges. Le chat belge, dont la propriétaire était diagnostiquée positive au Covid-19, avait des symptômes respiratoires et des diarrhées, mais il se porte mieux un tigre a été testé positif au SARS-CoV-2 dans un zoo à New York dimanche 5 avril, probablement après s’être contaminé auprès d’un gardien malade, et six de ses congénères présentent des symptômes de la point sur les études scientifiques en coursCes cas sont suspects mais ne permettent pas de conclure quant à la dangerosité de la transmission de l’homme à l’animal ou entre animaux et encore moins de l’animal à l’homme. Les études qui s’intéressent à cela, de manière expérimentale, sont encore très chercheurs chinois du laboratoire de biotechnologies vétérinaires et du laboratoire national de haute sécurité pour le contrôle et la prévention des maladies animales de la ville de Harbin se sont demandés si le virus SARS-CoV-2 pouvait se transmettre de l'homme à d’autres espèces animales, dans des conditions expérimentales avec des animaux vivants. Cela permettrait d'identifier de potentiels réservoirs d'infection et d'adapter les mesures de sécurité sanitaire en résultats de l'étude sont disponibles sur le serveur bioRxiv, un service de publication de travaux non encore publiés ni corrigé par les pairs, donc à étudier avec résumé, Jianzhong Shi et ses collègues ont constaté que les furets et les chats sont très sensibles au SARS-CoV-2, les chiens faiblement et les animaux de basse-cour porcs, poulets et canards ne sont pas sensibles au virus. Chez les chats, le virus se transmettrait aux autres chats par des gouttelettes cette étude, les chercheurs chinois ont mené plusieurs expériences afin de tester les capacités de réplication et de transmission du virus et l’apparition de symptômes du Covid-19 chez ces différentes espèces animales, les jours suivant une inoculation intranasale par de fortes doses de deux souches du SARS-CoV-2 prélevées chez des malades humains.Les chats seraient relativement sensibles au SARS-CoV-2Dans l’une des expériences de cette même étude, cinq chats ont été inoculés. Trois d’entre eux ont été placés dans des cages individuelles et isolées. Trois chats naïfs » non inoculés ont été placés dans des cages individuelles et isolées, chacun à proximité de la cage d’un chat inoculé, afin d’étudier la possibilité d’une transmission du virus des chats inoculés aux chats chats étant agressifs du fait des conditions de captivité, les chercheurs ont dû se rabattre sur des prélèvements d’excréments prélèvements intra-rectaux seulement, car les prélèvements nasaux réguliers étaient difficiles. L’analyse des excréments a révélé la présence d’ARN viral chez les trois chats inoculés entre J+3 et J+5 après l’inoculation, mais aussi chez un des trois chats naïfs non inoculés mais exposés à un chat inoculé. Ce chat naïf contaminé par contact n’a développé aucun tous les chats inoculés, de l’ARN viral et du virus vivant infectieux ont été détectés plusieurs jours après le début de l’expérience J+6 ou J+12 dans les voies respiratoires supérieures voile du palais, amygdales et trachée, mais pas dans les poumons. La même chose a été constatée pour le chat initialement naïf mais contaminé par contact, indiquant que la transmission par gouttelettes respiratoires s’est produite pour une des trois paires de chats inoculé/naïf. Le virus n’a pas été détecté dans aucun organe ou tissu des deux autres chats naïfs exposés. Les trois chats inoculés et le chat naïf contaminé ont développé des anticorps contre le mêmes conditions expérimentales et tests ont été reconduits sur 10 chats juvéniles âgés de 70 à 100 jours et ont aussi suggéré que le virus pouvait se transmettre entre les chats par les gouttelettes respiratoires. L’examen histopathologique à J+3 a révélé des lésions massives des muqueuses nasales et trachéales, et des poumons des deux chats, suggérant que les jeunes sont plus permissifs que les étude suggère ainsi que les chats seraient sensibles au SARS-CoV-2 et pourraient, mais peu efficacement, transmettre le virus à d’autres des furets chez qui une immunité s'est mise en placeUne autre série d’expériences, toujours rapportée dans le papier de Jianzhong Shi et ses collègues, suggère que les furets seraient un bon modèle animal pour l’évaluation de traitements antiviraux ou de vaccins contre le Covid-19. En effet, il y aurait réplication du virus dans les voies respiratoires supérieures cornets nasaux, palais mou et amygdales pendant huit jours au maximum. La réplication ne se fait pas dans les poumons même dans le cas d'une inoculation intratrachéale.Deux des six furets inoculés ont développé des symptômes fièvre et perte d’appétit à J+10 et J+12. Une réplication dans le tube digestif semble aussi avoir lieu, puisque de l'ARN viral est retrouvé dans les excréments. Cependant le nombre de copies d'ARN viral est nettement inférieur dans ces prélèvements que dans les prélèvements nasaux, et ils ne contiennent pas de virus infectieux. Une immunité contre le SARS-CoV-2 s’est mise en place chez tous les le coronavirus responsable du SARS déjà, une étude avait suggéré que les chats et les furets domestiques pouvaient transmettre le virus à des animaux sains qui vivent avec eux. Pour cela les chercheurs avaient inoculé une dose concentrée de virus collectée chez un patient humain décédé du SARS directement dans la trachée de chats. Ensuite les chercheurs avaient fait des prélèvements à différents niveaux des voies respiratoires supérieures nez, trachée et dans le rectum à différents moments après l’infection. Aucun signe clinique n’avait été observé chez les chats, contrairement aux furets léthargie, mais tous étaient porteurs du virus. De plus aucun passage de l’animal à l’Homme n’avait été chiens seraient moins sensiblesDans leur étude, Jianzhong Shi et collègues ont aussi inoculé cinq beagles de trois mois, et les ont placés dans une pièce avec deux beagles naïfs. De l’ARN viral a été détecté dans les excréments de deux des chiens inoculés quelques jours après J+2 et J+6. L’un de ces chiens a été euthanasié à J+4 mais l’ARN viral n’a été détecté dans aucun organe ou tissu prélevé sur ce chien. Le virus vivant, quant à lui, n’a pas été détecté. Seuls deux chiens inoculés par le virus ont produit des anticorps contre le virus examen à J+14. Les chiens inoculés ne semblent pas avoir transmis le virus aux chiens naïfs. Ces résultats indiquent d’après les auteurs que les chiens ont une faible sensibilité au les porcs, poulets et canards, l'ARN viral n'a été détecté dans aucun des écouvillons prélevés sur les animaux inoculés ou les animaux de contact naïfs et tous les animaux étaient séronégatifs à J+14. Ces résultats indiquent d’après les auteurs que les porcs, les poulets et les canards ne sont pas sensibles au le 4 avril, ce sont les résultats d'une autre équipe chinoise qui sont disponibles sur le serveur bioRxiv, suggérant que la population féline de Wuhan a été contaminée pendant l’épidémie. Qiang Zhang et ses collègues ont mesuré le taux d'anticorps sériques dirigés contre le domaine de liaison au récepteur RBD du SARS-CoV-2 par dosage immunoenzymatique indirect ELISA chez des chats de la ville de Wuhan. Quinze échantillons sur les cent deux réalisés depuis l’apparition de la maladie se sont avérés positifs 14,7%. Onze de ces échantillons positifs contenaient des anticorps neutralisant le virus. Ces chats auraient pu être contaminés par l'Homme, mais il n'y a pas de preuve formelle en ce les chats, des études aux résultats nuancésLes résultats obtenus par les équipes de recherche chinoises sur les chats sont très intéressants, mais bien sûr potentiellement inquiétants et les chercheurs encouragent la mise en place de mesures de quarantaine et d’hygiène strictes aussi pour les animaux de convient cependant d’être conscients des limites de ces études. Même si le portage par le chat semble être avéré, les modalités de transmission de l'homme à l'animal et entre les animaux sont encore obscures. Dans l'étude de Jianzhong Shi et collègues, les effectifs sont petits 8 chats adultes et 10 juvéniles, et les chats ont été inoculés avec de fortes doses du virus, directement dans le nez, ce qui ne correspond pas à des risques de transmission réels de propriétaire à chat. L'effet de cette dose d’inoculation, en particulier, mériterait d’être exploré. De plus, le papier ne précise pas quelle était la disposition des cages, ce qui aurait pu nous éclairer sur le mode de transmission exact gouttelettes, fèces, urine. Seul un chat sur les trois naïfs a contracté le virus, ce qui suggère une transmission somme toute peu plus, aucune des deux études évoquées plus haut ne s’est intéressée à un retour de contamination de l’animal à l’homme il n’est pas dit que les animaux inoculés ou contaminés par contact soient contaminants pour nous. Il n’y a en effet, à ce jour, aucune preuve directe que les chats positifs au virus sécrètent assez de virus pour le transmettre à des études préliminaires appellent donc surtout à la poursuite d’autres études expérimentales, à plus grande échelle, pour préciser les modes de transmission d’Homme à animal ou inter-animale ou même de l’animal à l’Homme.N'abandonnez pas votre animal de compagnie, protégez-leCes dernières découvertes ne doivent en aucun cas vous conduire à envisager d'abandonner votre animal par peur qu'il ne vous communauté scientifique s'accorde d'ailleurs à dire qu'il n'y a pas lieu de s'inquiéter outre mesure, puisque les chats ne semblent pas être un facteur majeur dans la propagation du virus, qui est surtout liée à la transmission d’humain à humain. C’est d’ailleurs la position que tient l'Agence nationale de la sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail ANSES et l'Organisation mondiale de la santé animale OIE.Puisque mieux vaut prévenir que guérir, il est recommandé de séparer autant que possible les animaux de compagnie des personnes atteintes, de limiter les sorties, et de respecter des mesures d’hygiène élémentaires éviter les léchages, se laver les mains après un contact avec l’animal et nettoyer régulièrement gamelles et litière, le savon étant le meilleur désinfectant puisqu’il détruit la membrane du se pourrait bien que de futures études révèlent qu'en protégeant nos compagnons à poils, nous nous protégeons aussi. Garder son animal près de soi pourrait permettre de limiter la propagation du virus, alors que l'abandonner ne ferait qu'augmenter sa article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.
est ce que les chien peuvent attraper le covid